1e cristal : Contrôle des souvenirs 2e cristal : Cristal 3e cristal : Cristal 4e cristal : Cristal 5e cristal : Cristal 6e cristal : Cristal Messages : 8 Âge : 26 Métier : Thérapeute Disponibilité RP : Clochettes : 50
Hélène
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Hélène
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CLOCHETTES
Posté le Mar 6 Juil - 0:36
Hélène
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Hélène
Je suis arrivé à Althea en : Mai 2025
Carte d'identité
ÂGE :
26 Ans
NATIONALITÉ :
Anglo-Islandaise
LIEU & DATE DE NAISSANCE :
Kópavogur - 22 Août 2000
MÉTIER :
Thérapeute
SITUATION MARITALE :
A conquérir
Contrôle des souvenirs
Description concise
Hélène peut percevoir des bribes d’un souvenir (à minima, le tout début et la fin) d’une personne proche d’elle. Elle s’en sert en lien avec son instrument pour faire remonter les traumatismes des patients et mieux les accompagner.
Effets particuliers / Rayon / Taille :
Les personnes concernés doivent être proche d’elle, soit deux mètres maximums Contrecoup et/ou limites :
Hélène ne peut accéder qu’au souvenir que revit la personne dans l’instant. De plus, ses yeux sont forcément fermés et sa perception (auditif et olfactif) est extrêmement réduite. Elle ne peut marcher sans rompre le lien mais garde contrôle de son corps.
Nombre d'utilisations et/ou minutes d'utilisations par jour : Pas plus d’une fois par personne sur la même journée (elle doit passer une vraie nuit pour recommencer avec la même personne)
nom du cristal
Description concise
Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression. Le Lorem Ipsum est le faux texte standard de l'imprimerie depuis les années 1500, quand un imprimeur anonyme assembla ensemble des morceaux de texte pour réaliser un livre spécimen de polices de texte. Il n'a pas fait que survivre cinq siècles, mais s'est aussi adapté à la bureautique informatique, sans que son contenu n'en soit modifié. Il a été popularisé dans les années 1960 grâce à la vente de feuilles Letraset contenant des passages du Lorem Ipsum, et, plus récemment, par son inclusion dans des applications de mise en page de texte, comme Aldus PageMaker.
Effets particuliers / Rayon / Taille : Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression.
Contrecoup et/ou limites :
Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression.
Nombre d'utilisations et/ou minutes d'utilisations par jour :
Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression.
Hélène est une femme facilement abordable, emplit de joie de vivre, arborant un sourire en permanence sur ses lèvres légèrement rosées. Toujours prêt à échanger avec l’ensemble des gens qui l’entoure, sans prêter attention à leurs origines, leurs traits, leurs comportements. Il semblerait qu’aucune barrière ne se dresse face à vous lorsque vous l’approchez. La méfiance n’est pas quelque chose qui existe dans son univers. Trahissez-la, manipulez-la, elle ne comprendra qu’au moment ou vous aurez fait ce que vous souhaitez d’elle. Peut-être s’énervera-t-elle dans l’instant, t sans doute serait-ce la première fois que vous la verriez en colère. Mais elle vous pardonnera, elle pardonne toujours, et jamais à ce jour il n’y a eu une personne ne trouvant pas grâce à ses yeux.
Si vous prenez la peine de prendre une place ne serait-ce qu’infime au sein de son cercle, assez restreint de relation, vous aurez l’opportunité de trouver une personne loyale et disponible. Continuez et vous verrez ses yeux briller à l’instant où elle vous croisera au détour d’une rue. Elle sera toujours cette oreille attentive, cette partenaire prête à vous suivre dans vos plus folles folies. Pourtant cette jeune blonde vous laissera toujours un sentiment de « surface ». Elle cherchera en permanence à creuser et en apprendre plus sur vous, désireuse de vous connaître sous toutes vos coutures. Elle questionnera, mais sans jamais se livrer de son propre chef, et jamais au grand jamais elle n’évoquera le kamikakushi et sa vie après cette période sur terre
Hélène est née d’une mère anglaise et d’un père français qui s’étaient installés en Islande peu avant la naissance de leur enfant adoré adorée. Cette petite tête blonde a grandi dans un cadre idyllique, ces parents vivaient une véritable romance elle était choyée et aimée, devenant très vite une petite fille remplit d’énergie. Les années passèrent et vinrent très rapidement le temps d’entamer sa scolarité sous le ciel chatoyant de chatoyant mais froid de Kópavogur. Les premières années se passèrent sans accrocs, Hélène appris rapidement à parler, s’entendait convenablement avec tous ses camarades et était aimé par les professeurs. Excellant dans les jeux et sport d’endurance ou d’agilités, elle était souvent la meilleur dans ces domaines. Sa passion pour la musique se déclara plus tard au cours d’une rencontre au coin d’une rue.
Son père qui la raccompagnait de l’école comme chaque soir eu à changer de chemin pour faire quelques courses alimentaires dans une boutique du centre-ville. Au coin d’une ruelle un élément sur un petit présentoir derrière une vitrine retenue l’attention de la jeune fille alors âgée de huit ans. Un étui rouge de l’extérieur, l’intérieur était quant à lui recouvert d’une drôle de mousse. Contre cette mousse était disposer un drôle de morceau de bois auquel était attacher des dizaines de fils très fin, et juste à côté, un corps boisé magnifiquement vernis mais visiblement creux sur lequel passait plusieurs cordes à la verticale. Elle arrêta son paternel en le retenant par la manche, ce dernier ne put que remarque le regard brillant de mille feux de son enfant. Il expliqua alors à Hélène ce qu’était ce drôle d’objet.
« Il s’agit d’un Violon, tu en as sûrement déjà entendu dans certaines musiques. Pour faire des notes et des mélodies, il faut frotter les cordes de l’archet qui est le drôle de morceau de bois à gauche contre les cordes du violon se trouvant à droite ! Sans doute est-ce l’un des instruments les plus dur à maitriser, du moins de ceux que je connaisse !
Le regard d’Hélène ne décolla de cet instrument qu’une fois éloigner de cette vitrine, elle raconta à sa mère sa découverte du jour et ce que son père lui avait raconté. Elle conta alors son histoire, animée d’une mystérieuse passion, chacun de ses mots transpiraient une envie de posséder ce drôle d’objet. Et ce fut chose faites le vingt-deux Aout de la même année. Son père Ethan la raccompagnait à la maison comme tous les soirs, et une fois rentrée elle trouva sa mère derrière la table. Un gâteau magnifique que Lucile avait préparé et un paquet emballé était disposé sur le meuble. Après avoir mangé une énorme part de la charlotte aux framboises que la pâtissière lui avait concocté. La blondinette pu enfin ouvrir ce gros paquet sous les regards bienveillant de ses parents.
Enlevant les nœuds, puis décollant doucement le papier, un étui rouge recouvert de stickers se dévoila face à elle. Elle savait déjà ce qui était à l’intérieur de cette malle, son cœur battait la chamade alors qu’elle enlevait les deux loquets, souleva un pan de l’étui, révélant sous ses yeux brillants le violon. Elle aperçut entre les cordes de l’objet de sa convoitise une feuille de papier, reconnaissant l’écriture de sa mère, elle commença à lire.
« Ma petite fille chérie, ton père et moi avons économiser sur plusieurs mois depuis ta découverte de cet instrument pour te l’offrir. Nous nous sommes même permis d’utiliser une partie de nos économies ! J’ai trouvé un professeur pour t’apprendre à jouer, c’est un client régulier de ma pâtisserie, tu iras donc là-bas avec ton père après l’école, c’est un peu loin alors il ne faudra pas perdre de temps ! Nous espérons tout deux que ce cadeau te comblera et fera vibrer ton cœur comme tu fais vibrer les notre. Papa. Maman. »
Les cours commencèrent pour Hélène le jour suivant, son enthousiasme s’était fait ressentir toute la journée selon ses enseignants. Son père arriva et tous deux partirent en courant jusqu’à la maison du professeur de musique. Si durant la première année son père se prêtait au jeu de la course à pied, il acheta un vélo durant la seconde pour gagner un peu de temps et surtout pour faciliter le trajet. Sa fille s’asseyait sur le porte-bagage en s’accrochant à son dos du plus fort possible, il n’était guère confortable d’être derrière mais l’idée des cours lui faisait oublier la dureté de la galerie. Ses premiers mois d’apprentissages furent d’ailleurs très compliqués, mais Hélène ne lâcha jamais et très vite elle maitrisa les premières bases de l’instrument, arrivant à atteindre des premières notes avec élégance. Si tant est qu’à la fin de ses deux premières années elle avait acquis un niveau bien plus que correct, apprenant bien plus vite que la majeure partie des gens.
A sa quatorzième année son père Ethan cessa de la conduire, lui offrant son vélo pour qu’elle puisse s’y rendre plus rapidement. Il commençait à fatiguer de son travail à la scierie et avait besoin davantage de repos. Alors elle se rendait tous les matins à vélo à son école, le violon accrocher au porte-bagage, puis de rendais chez son professeur avant d’enfin rentrer chez elle. Ces journées étaient donc assez longues pour une adolescente de son âge mais sa fougue et sa force de vivre naturelle. Ce fut pendant longtemps son petit train-train qui prit un autre tournant lors de la fin de son parcours scolaire. Il était temps pour Hélène de choisir une voix à suivre.
Après quelques semaines de réflexion elle prit ses parents à part pour discuter son souhait. Elle désirait ardemment poursuivre sa passion pour la musique et l’université des arts qui se trouvait dans sa ville lui offrait justement cette opportunité. Bien entendu, choyée par ses parents, ces derniers acceptèrent, prêts à tout pour leur petite Hélène. Elle poursuivi donc à compter sa seizième année un cursus musical, continuant à se démarquer parmi ses paires du collège tant et si bien que les quatre années prévues se terminèrent en trois. Ce cursus achevé, il était enfin possible pour Hélène de postuler en tant que soliste au sein de l’orchestre national d’Islande. La violoniste ne cessait de perfectionner sa technique si bien qu’elle se présenta en novembre deux milles dix-huit.
Ils étaient ce jour là une dizaine de candidat pour l’unique place de soliste, du haut de ces dix-neuf ans, elle n’était même pas la plus jeune ce jour-là, une de ces compatriotes avait tout juste dix-huit ans. En ce qui concerne les autres participants, la majeure partie d’entre eux naviguaient entre vingt-trois et vingt-sept ans. Hélène clôturait le bal, dernière candidate, elle s’avança dans une ravissante robe blanche acquise pour l’évènement et se présenta de sa voix cristalline. Les premières notes se firent douces et très vite la jeune femme se laissait prendre par la mélodie qu’elle jouait. Ses pieds étaient fortement ancrés dans le sol, seul son buste et ses bras se mouvaient réellement. Après plusieurs minutes, elle s’inclina face au jury, puis se retira. Les délibérations furent assez longue, une bonne heure se passa et chaque seconde paraissent plus longue que la précédente pour notre ingénue.
Le soir même Hélène rentrait retrouver ses parents, arborant un sourire sans pareil, elle avait su faire ses preuves sans céder à l’immense pression qui pesait sur ces épaules. A compter de la semaine prochaine elle sera un membre de l’orchestre symphonique d’Islande, la hâte et l’appréhension se mélangeaient dans son cœur. Les mois suivants passèrent à vive allure, la violoniste gagnait déjà suffisamment pour emprunter et acheter un petit pavillon dans la capitale. Son premier grand concert ouvert au public arrivait un soir de Mai, ses parents y étaient bien évidemment présents, rajoutant une note de traque à tout un mélange d’émotions. Pourtant, comme cela avait toujours été, les premières notes dissipèrent toutes les craintes qui embrumaient son cœur. Le concerto se déroula sans encombre, le publique était charmé par la performance de l’orchestre et sous les applaudissements, les musiciens quittèrent la scène. Fière de sa performance, Hélène retrouva sa famille et ses proches amis à la sortie du conservatoire de Reykjavik, tous se dirigèrent vers un restaurant chic sa ville natale.
Alors qu’ils étaient en voiture, la lumière des lampadaires tressautaient violemment, ensuite, les ténèbres. Seuls les phares éclairaient la route, un son indescriptible raisonna dans toute la région, il émanait de la capitale seulement à quelques lieux de là. Toutes les voitures s’arrêtèrent en même temps, certains sortaient paniqués en courant hors de leurs véhicules. Un son plus fort encore se fit entendre et, la seconde qui suit, un énorme tremblement se fit sentir, la terre tressaillait. Le regard d’Hélène comme ceux de l’entièreté des gens aux alentours, fixaient la plus grande ville d’Islande, qui s’effondrait sur elle-même. Hallgrímskirkja, dont la pointe se voyait encore se fit avaler par le sol. Les entrailles de la terre s’étaient ouvertes, avalant tout sur leur passage. Face à l’ampleur du désastre tout le monde reprit son véhicule et fonça à vive allure, des accidents à la chaine eurent lieu, personne ne s’arrêtait. Tous étaient sous le choc.
Arrivé au domicile familial, personne n’osait prononcer un mot, Ethan alluma la lumière de l’entrée, étonnamment, cette dernière fonctionnait, heureusement que l’entièreté du réseau électrique ne dépendait pas de la Reykjavik. La télévision n’affichait plus rien, la radio quant à elle n’émettait que par intermittence. Dans la nuit-même l’armée débarqua au large de Kópavogur, plusieurs centaines de soldats, de divers rangs investissaient la ville et une annonce fut faite à l’aube, retentissant dans de grands haut-parleurs. « Reykjavik… Comme toutes les capitales de la planète se sont effondrées, il est interdit de s’approcher du gouffre. En attendant de pouvoir tirer au clair la situation, la loi martiale est instaurée »
De là, une certaine routine s’installa, les rationnements rythmèrent les journées et le monde reprenait peu à peu des bases bien que fragiles. Plusieurs gouvernements temporaires avaient été désigné ça et là autour de la planète, en Islande, le pays resta majoritairement contrôlé par l’armée, en effet, toutes les instances politiques avaient disparu en même temps que la capitale. Des géologues avaient été dépêché aux abords du gouffre béant qui avait remplacé la plus grande ville de l’île, et ici comme partout ailleurs, nulle ne fut capable d’approcher. Des grandes barrières invisibles et pourtant bien réelles se dressèrent autour du cratère, et cela semblait-il être la même chose partout. Certains évoquaient des punitions divines, d’autres tentèrent d’être plus terre à terre en recherchant une explication rationnelle, mais personne au sein de la petite ville ne pouvait dire ce qu’il en était réellement.
Hélas l’accalmie ne fut que de courte durée, une mystérieuse maladie frappa l’ensemble du globe. Plusieurs personnes étaient prises d’une forme étrange d’oubli, des troubles de mémoire et de comportement frappèrent peu à peu la population. Puis un jour, un soldat malade de ces étranges symptômes et placer à l’isolement se vit muter, son corps devint difforme, et une créature d’une violence surhumaine pris vie. L’ancien soldat fit un véritable carnage dans la salle d’isolement, de ses grands bras écorcher il fracassa l’ensemble des patients contre les murs. Les cris de frayeur en provenance de l’hôpital se firent entendre à une centaine de mètre à la ronde. C’était le premier cas de transcendé d’Islande, et si celui-ci avait exterminé l’ensemble des malades enfermé avec lui, d’autres plus isolés émergèrent dans le pays.
Très vite l’humanité s’effondra pour ne jamais se relever, vivre n’était plus une option, seul survivre comptait. Hélène et sa famille, jusqu’à maintenant étaient épargnés, avaient décidé de fuir la ville et prirent direction le chalet familial aux abords du lac Hafravatn à près de quatre heures de marche de la ville. Un retour aux sources s’imposait de lui-même. Une fois installer dans leur nouvel habitat, les semaine et mois des deux premières années firent rythmées par de ponctuel voyage en ville, ou chacun priait pour le pas croiser les abominations que certains avaient mentionné dans leurs rares échange avec d’autre locaux. Ces voyages durent prendre fin quand l’armée ne put contenir le peuple affamé et géré le rationnement des stocks de nourriture. Le troque repris d’ailleurs sa place dans la société, si bien qu’Ethan avait su se procurer un fusil et quelques munitions contre plusieurs des poissons pêchés qu’il avait fumés lui-même. Personne au sein de la famille ne savait s’en servir, du moins pas de façon précise, mais s’il n’était pas envisageable de tuer un transcendé, pouvoir se défendre de possible pillards devenait une nécessité première.
Dans ce climat oppressif, la famille parvenait à prospérer, ou du moins, maintenir un cadre de vie plutôt décent. La culture d’un petit carré de terre, la pèche et l’installation de collet permettaient à la famille de devenir indépendante au niveau de la nourriture. L’eau des pluies était récupérée et stocker dans d’anciennes petites barriques à bière. Le soir Hélène jouait pour son propre plaisir et celui de ses parents. Improvisant quelques morceaux au fil de ses émotions et de ses états d’âme, malgré l’enfer dans lequel elle vivait, elle n’avait pas perdu la main que peu perdu la main. Après tout son instrument ne l’avait jamais quitté.
Cette bulle dans le chaos mondial se vit contraint d’éclater quand durant la fin d’après-midi d’une journée de mai, un coup de feu retenti, puis un second. Il n’était pas commun d’entendre des tires près du lac, si bien que le père de famille se rua pour récupérer le juxtaposé qu’il s’était procurer quelques années auparavant. Peu après, des pneus crissèrent devant le domicile, était-ce l’armée ? D’un coup d’œil entre les rideaux miteux, il aperçu deux véhicules se garer et fit signe à sa fille de sortir par la porte de derrière. Hélène, le cœur tambourinant contre sa poitrine, s’exécuta sans se faire prier, se cachant derrière les arbres qui cerclait la demeure. Peu après avoir fait le tour, elle entraperçu son père discuter avec plusieurs individus armés, l’un d’eux lui fit signe de poser se diriger vers l’un des pick-up. L’innocente Hélène réalisa alors l’absence de sa mère, faisant le lien avec les coups de feu, elle s’avança rapidement alors que son père semblait en total confiance avec ces inconnus. Un premier coup de feu raisonna, des cris, pas un, plusieurs. Puis une rafale très brève. Sous ces yeux son père se vit criblé de plombs tandis qu’un des individus s’effondrait également. Elle poussa un cri, un long cri silencieux, ses jambes ne répondait plus, elle sombra.
Les heures passèrent, il faisait maintenant nuit noire. Là-haut dans le ciel, la lune éclairait tout juste les environs. Le sol paraissait froid et le paysage défilait sous ses yeux. Les images lui revenaient en tête, ses yeux couverts de larmes s’embuaient peu à peu. Des hommes parlaient, elle distinguait un bruit de moteur. Elle voulut demander à ses hommes qui étaient-ils, ce qui s’était passé. La jeune femme reconnu la voix d’un des personnages, c’était eux. Hélène tâcha de se débattre mais était pieds et poings liés. Le froid de l’acier et du vent lui glaçait la peau, ses vêtements lui avait été arraché. Des mots parvenaient à ses oreilles « Ragnarok » « dieu » « payer », tout cela ne faisait sens dans la tête de la jeune femme.
Véhicule stoppé – Le calme Jetée au sol – La terre Mise à genoux – Le vent Dos au cratère – Le froid Chants et prières – La peur Poussé en arrière – La fin
Le vide.
La chute fut longue, je ne sais trop dire combien de temps elle a duré, mais dans l’instant, elle m’avait paru durée une éternité. Une chose est sûre, j’avais survécu, je ne sais trop dire comment, ni même pourquoi, mais j’avais survécu. Mes liens s’étaient desserrés pendant la chute, je n’eus guère trop de mal à m’en extirper, et encore hasardeuse je commençais à descendre le monticule de gravats sur lequel j’étais. Ce n’est qu’une fois le sol posé sur la terre ferme que des images des instants précédents refaisaient surface au fin fond de mon esprit. Je me frottais les yeux, c’était impossible de distinguer à plus de quelques mètres devant moi. Tout cela semblait irréaliste, pourtant aucune larme ne perlait sur mon fin visage, si vous m’aviez vu, sans doute n’auriez vous pu distinguer que des traits creusés par l’effroi de ces dernières vingt quatre heures.
J’errais sans but dans ces drôles de grottes, ou devrait-je dire cette drôle de grotte. Durant mon périple j’étais tombé devant des grands cristaux brillant d’une lumière étrange, quasi surnaturelle. Les murs se voyaient tapisser de teintes colorées, je m’asseyais à l’ombre de ces impressionnants minéraux, admirant ce spectacle pendant de longues minutes, probablement de trop longues minutes. J’étais lasse de déambuler dans ce lieu maudit, lasse de batailler. Je sombrais, encore. A mon réveil, je n’avais plus la notion du temps, des bruits raisonnaient ça et là entre les parois. Peut-être y’avait-il des animaux sauvages en ce lieu. Mon instinct de survie pris le dessus, je me relevais, ne sachant trop comment, mais mon cœur battant la chamade était sans doute pour quelque chose dans cette course effrénée que j’entamais. Impossible de savoir d’où ces sons venaient, ni ce qu’ils étaient réellement, tout ce que je savais, c’est que mon instinct me criait de ne pas m’arrêter. Et j’avais bien fait, là sous mes yeux, une lumière plus naturelle semblait émerger d’un tournant, elle éclairait chaudement les parois de la caverne. Je filais quasiment à bout de souffle sur les derniers mètres, je voyais enfin la lumière au bout du tunnel, face à moi le désert.
Les heures suivante s’enchainèrent très vite, ma rencontre avec les premiers humains fut une surprise sans nom, je n’étais pas seule dans ces terres, et tout ce cauchemar vécu était bien réel. Ceux que je rencontrais avait atterrit ici lors de la chute des capitales, qui avait eu lieu il y’a maintenant six ans. Je fis comprendre mon incapacité à parler en bougeant les lèvres, l’une d’elle me tendis un bloc note et un crayon de bois. Nous venions tous d’un endroit différent du globe, et pourtant chacun semblait comprendre l’autre, c’était intriguant. Ils m’apprirent énormément de chose sur cet endroit qu’ils avaient nommés Althéa, la majeure partie d’entre eux étaient originaire du « désert des oubliés », une femme venait d’un lieu nommé « Caer Hrid ». Ils me guidèrent ensuite auprès de recruteurs, qui semblait avoir pour mission de choisir qui avait le droit de rejoindre leurs cités. Seul le mont Célestia souhaitais me recueillir, mais je refusais, désireuse de liberté et souhaitant rester en compagnie de ceux qui m’avaient guidé en premier lieu.
Nous tracions notre route à travers le désert où la chaleur était éreintante, nous arrivions aux abords de l’Oasis et c’est là que je passais une longue année. D’abord à me remettre de ces traumatismes, accompagné par les oubliés où je trouvais, du moins chez certain, un soutien inébranlable. La communauté de nomade avec laquelle je résidais m’avais fait fabriquer un violon, bien sûr il ne sonnait pas totalement comme ceux que j’avais entendu à la surface, mais cela restait très proche de nos créations sur la surface et sans doute mon oreille était un peu trop tatillonne. Le soir même, je me produisais au milieu de notre camp devant un peu plus d’une cinquantaine de personnes, évidemment les larmes accablaient les formes de mon visage.
C’est ainsi que je découvris le pouvoir que m’avaient procuré les cristaux. Au milieu de la foule, mon regard happa celui d’une femme. Je l’avais déjà croisé il y’a plusieurs mois de cela, à ma sortie de la grotte. Des brides d’images s’initièrent dans ma tête alors que je fermais les yeux, c’était l’intérieur des grottes, il y’avait plus de gens, plus de morts, plus de tout. Je faillais, cessant de jouer en rouvrant les yeux. Mes pupilles la fixaient, elle m’obnubilait. Était-ce moi qui avait fait ça ? Était-ce elle ? Après tout, tous ici avait des pouvoirs. Les gens me fixaient, elle également, je fonçais à travers la foule, l’archet et le violon dans une main, attrapant de l’autre celle de cette femme. Plus loin une discussion s’en suivi, je n’avais pas rêvé, j’avais vu ce qu’elle avait vécu.
Nos chemins se séparèrent à nouveau, ainsi va la vie de Francesca, courir après la connaissance et le savoir. De mon côté, je quittais le camp nomade à dos de chameau, m’installant au Relais Victoire fini depuis à peine quelques mois. Là-bas, j’entamais des consultations mêlant psychologie, musique et l’utilisation de mon pouvoir pour mieux saisir l’état de mes « patients ». A ce jour, après des débuts chaotiques, j’arrivais à faire un peu parler de moi, il y’avait les curieux de passage au relais qui s’interrogeait sur ma pratique, et ceux qui souhaitaient réellement être accompagné.
Nous verrons bien où ces rendez-vous m’emmèneront. Mais j’ai, je crois trouvé ma voie, écouter, comprendre et aider les autres.
Un génie apparaît et vous accorde un vœu ; que demandez-vous ? Du plus profond de son cœur, les coups de feu, l’absence de sa mère, et le meurtre de son père ressurgit. Rendez les moi, rendez-moi mes parents.
Le génie accorde votre vœu, mais en échange une personne que vous ne connaissez pas meurt. Voulez-vous toujours faire un vœu ? Non, non, je… Sauf si peux être cette personne. Prenez-moi, pitié.
Vous êtes dans la rue en plein milieu de la nuit ; il fait sombre, c’est effrayant. Soudainement, dans une allée à côté, vous entendez un bruit suspect mais rapidement étouffé. Que faites-vous ? Je me retourne vers l’allée en question, d’un pas de loup de m’y avance, je penche la tête au bord de l’intersection pour scruter l’environnement de cette ruelle. - Si il n’y a rien, je reprends ma route - Si il y’a une ou des personnes, je m’y avance, souriante comme toujours !
Qu'avez-vous le plus de mal à supporter ? Sans doute … la violence, non, les trous si profond que l’on ne peut distinguer le fond
Quel est votre plus grand cauchemar ? Que cette enfer recommence
Quel est votre avis sur les dons, les cristaux ? Je crois que c’est une bonne chose ? Cela facilite tellement la vie, avec eux, j’ai espoir que les conflits cessent et que nous soyons en mesure de mieux nous comprendre, nous accepter.
Quel est désormais votre objectif de vie ? Je veux aider, un maximum de gens, les rendre heureux. Surtout ceux qui me sont proche !
Quel joueur se cache derrière l'écran ?
• Ton nom / pseudo : Clément • Âge : 25 ans • Feat. de votre avatar : Kaori Miyazono – Shigatsu wa kimi no uso • Acceptes-tu que ton personnage tombe malade et subisse la Transcendance ? Pas de suite ! • Des remarques / commentaires ? Le forum est vraiment très élégant, le context est super bien travaillé, c’est pas évident à abordé et assimilé, mais ça vaut le coup, vous gérez, hâte de RP avec vous !
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Posté le Lun 12 Juil - 18:25
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La musique n'adoucit pas les moeurs
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Aïe aïe aïe, le récit d'Hélène ne touche malheureusement pas la corde sensible des recruteurs de Caer qui ne voient qu'une demoiselle beaucoup trop douce et sensible pour le Royaume. Ses regrets et ses peurs n'ont rien à faire chez les bleus roi !
Tristiti mais Caer Hrid te renie. Requiem t'irait mieux, ne serait-ce que par son nom
Caer Hrid ferme ses portes !
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Posté le Lun 12 Juil - 21:17
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HEL(ENE) EST LA BIENVENUE !
HELENE
Pourquoi pas, hein ? Hélène a sa place à Celestia, si elle le souhaite. En plus, avec l'ouverture récente d'Australis, elle aurait même un endroit ou se produire régulièrement.
Si elle l'accepte, Hélène pourra repartir avec le cristal de Détecteur de Mensonges
Celestia attend ta décision !
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de la vallée des constellations
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Posté le Ven 16 Juil - 10:06
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Hélèn-non
Hélène
Hélène a tout d'une personne adorable, l'amie qu'on aimerait tous avoir, mais... Mais il y un mais : elle ne semble pas avoir des convictions solides, et ne s'impose pas dans ses avis. Les recruteurs ont peur qu'elle devienne le mouton au milieu des loups et ont du mal à la voir évoluer à la Vallée. Ce sera malheureusement un refus pour la Vallée !
La vallée ferme ses portes
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CLOCHETTES
Posté le Dim 18 Juil - 18:52
Hélène
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Pour Hélène, il ne semblait pas envisageable de vivre dans un endroit si contrôlé et doré que Celestia. Emplit d'une certaine fierté elle décida de rester au désert plutôt que d'accepter la proposition qui lui était faite.
Les grandes étendus de sable ne l'effrayaient point. Après tout, seul le climat changeait face à sa terre natale tout aussi inhospitalière sous certains aspects.
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Posté le Mer 4 Aoû - 15:21
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FÉLICITATIONS !
hélène
Hélène a clairement fait le bon choix en se dirigeant d'elle même au désert des Oubliés. Ici elle trouvera la liberté qu'elle recherche, ainsi que des êtres brisés qu'elle pourra certainement aider. Son don est super original ! Et ça lui correspond à 100%, la musicothérapie fallait y penser !
En tout cas on te souhaite la bienvenue, même si parfois tout n'est pas tout rose au désert, j'espère qu'elle saura s'y acclimater !
N'hésite pas à aller créer... - Ta fiche de liens : www - Ton journal : www - Ton Holokit : www
Bienvenue dans le désert !
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