Et dans la douceur du soir, je veux y croire

Entre deux massages, tu décides de faire passer son t-shirt au dessus de sa tête pour pouvoir être plus à l'aise et passer tes doigts sur ses épaules et son dos.
Tu ne quittes plus ton sourire et il faut dire que tu ne rates pas une miette du spectacle de l'homme sous toi. Ton homme si tu suis ce qu'il te dit.


Tu as glissé les derniers mots à son oreille, chuchotant comme pour sceller une promesse par des mots que seuls lui peut entendre.
Tu frissonnes alors qu'il te caresse doucement. Parfois il s'arrête alors que tu masses une zone sensible et tu souris un peu plus. Il est adorable.
Son souffle est paisible dans ton cou et toi tu apprécies ce moment. Il te chatouille un peu parfois mais c'est simplement agréable. Tu n'as pas besoin de plus là tout de suite. C'est votre premier moment tendre, rien que tous les deux, tes mains et ses muscles que tu détends.
Puis tu viens gratouiller son dos entre deux massages. Il frissonne sous tes doigts et tu aimes le voir comme ça.
Passé une dizaine de minutes tu commences à avoir un peu les mains qui chauffent à force de les frotter contre lui, alors tu décides de changer un peu.
Joueuse tu viens chatouiller ses côtes pour voir s'il est chatouilleux, prête à batailler pour garder le dessus. C'est comme ça qu'on apprend à connaître l'autre non ?

Et dans la douceur du soir, je veux y croire

Alors ça.
Ce serait mentir de dire que tu pensais savoir comment il allait réagir.
En une demi seconde tu n'es plus sur lui, tu n'as rien pu faire et te voilà à sa merci, les yeux grands ouverts.
Pourtant c'est toi qui a l'habitude d'aller très vite, mais faut croire que tu as touché une corde TRÈS sensible chez Fenrir. Vu qu'il vient clairement de te faire une prise pour t'allonger sur ton canapé.
La surprise passée, tu éclates de rire tellement tu ne t'y attendais pas. Bien entendu, tu continues sous l'attaque de bisous. Frissonnante tu tentes faiblement de le repousser mais rien n'y fait, l'homme sanglier est bien décider à te croquer toute entière et te recouvrir de baisers.


Tu chavires entre les rires et l'excitation finalement. Tu ne mens pas, cette zone de ton corps est bien plus sensible et seuls les élus peuvent y toucher. Tu tentes de te débattre mais tu sais bien qu'il est bien plus fort que toi et même si tu gigotes sous lui, tu n'es pas une anguille et tu ne peux pas te glisser entre ses doigts pour lui échapper.


Tu n'en peux clairement plus et tu es à bout de souffle, oubliant parfois de respirer sous la torture.