Et dans la douceur du soir, je veux y croire

La joie est omniprésente et même lorsque vous vous chamaillez tels deux enfants qui se découvrent, l'atmosphère est douce. Deux enfants qui se disputent et qui s'embrassent la seconde d'après, qui se cherchent, touchent, apprennent l'un contre l'autre.
Et les sourires.
Ils sont beaux ceux-là, comme accrochés à vos bouches, comme dessinés sur vos lèvres et bien plus encore.
Tu te sens belle, tu te sens femme et c'est accrochée à Fenrir que tu lui chuchottes mille promesses à l'oreille alors qu'il te porte en direction de ton lit.
Chambre tamisée, il te dépose sur le drap comme une petite chose précieuse, comme quelque chose qu'il veut chérir. Et c'est sur ce drap rose en coton qu'il te couve du regard et que tu l'amènes à toi. C'est sur ce nuage de coton que votre étreinte se termine.
Passion qui fait déborder ton cœur.
Et puis le calme, main dans la main, cœur contre cœur.
Ton visage repose sur son torse qui se soulève, son cœur résonne à tes oreilles comme autant de tambours annonçant votre amour.
Le calme est revenu sur le lac, parfois un pétale termine sa course et se pose sans remous sur la surface de l'eau. Comme autant de caresses sur ta peau nue.
Oui c'est ça, la paix que tu attendais depuis tant d'années.
C'est cet homme un peu brute qui vient te l'apporter. Homme-bête qui est pourtant tellement plus beau et doux que certains Hommes.