Il baisse la tête, il joint les mains et l'averse fait rage, les flocons sombrent du ciel, le soleil frappe les crânes dénudé, les éclairs zèbrent l'horizon.

Serpent dans ta tête, c'est les paroles prononcées comme au creux de l'oreille, sans mouvoir les lèvres, sans se déplacer. La voix résonne, l'on peut y répondre, c'est la discussion simple des pensées.

Petit fantôme, c'est qu'il n'est que le murmure du vent, murmure des pas, il n'existe qu'au contact, parfois.

Songe, songe, visage en vue et puis bientôt, la douleur étire ses traits. C'est (in)volontaire, c'est pour punir. Le corps va bien, mais il souffre tout à la fois, sans aucune blessure à déplorer.

Les poings enlacés s'échauffent, les bras crispés s'élancent, le coup envoyé brise (vos côtes).

(colibri torchilus scitulus) Le duvet de plumes s'étend sur sa peau, sur son dos. Ses ailes percent les omoplates et puis s'étirent, oiseau de moitié. Le petit corps se forme, les ailes battent en rythme, oiseau tout entier.

D'un coup, Mars immobilise, empêche le mouvement et la parole. Il peut choisir entre donner des coups simples (protégeant ses poings et augmentant la douleur des coups) ou user du don de l'arme pour immobiliser une personne. La paralysie peut durer jusque dix minutes, les gants ne pourront paralyser que six personnes par jour (soit un total d'une heure de paralysie).