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Oh Madone | Orazio
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Miska
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de la baie des songes
Miska
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1e cristal : eau - c
2e cristal : apnée - s
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CLOCHETTES
Posté le Sam 25 Avr - 16:22
Miska
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Un lâche ? Oui sûrement, il ne t'en veux pas de l'être, lui aime cette lâcheté qui te rend si coupant, comme une lame à double tranchant, qui coupe de toute façon. Les lâches sont comme des voleurs, ils s'enfuissent à toutes heures. Dans les ombres des après-midi comme au clair de la nuit. Ils passent par les fenêtres, descendent par les toits, dansent dans les recoins sombres des ruelles, se font passe-muraille le temps d'une saison. Il y a tant à aimer dans ces sacrés personnages qui se découpent sur un fond sale de rues désertes. Oh oui fuit le autant que tu veux, il t'attrapera sans relâche, il te chassera comme l'on chasse à la cour, il se fera roi de tes vêtements, t'entremêlera dans ceux-ci pour mieux te rendre prison, telle une araignée qui tisse sa toile autour de pauvre manants. Mais tu es plus qu'un manant toi, toi tu es le fou de sa cour, tu es celui qui peut se moquer qui peut rire de ces œuvres qui peut vouloir s'en échapper, du quatre coin du papier. Tu es celui oui, celui a qui il pardonne toutes les folies.

Tu attrape sa main, à Miska, et la ramène contre ta joue cisaille, vient la passer contres tes lèvres dans un chaste baiser, souffler, respiration douce, contre sa paume. Un badaud si tromperait dans ce geste et y croirait lire de l'amour quand celui-ci est tout teinté de la beauté des œuvres par lesquels vous vivez. Il ne glousse pas, car comme une vierge sainte, toute preuve d'affection lui est dû, lui couronné du soleil tombant, le soir vient et c'est son territoire tout autant que lorsque le soleil est brûlant.

Oui
Fuis moi donc, je te rattraperai de toute façon.
n'est-ce pas, tu ne pourras pas t'enfuir loin qu'il sera sur tes talons, à embrasser ce visage si lasse de raison
qu'il courtise un peu de déraison dans sa vie, qu'il lui donne le tapis rouge qu'elle mérite tant.

Lui, royauté de ces contrées chasse gardée.
Laisse-le donc venir te baptiser.
Que coule l'eau le long de ton corps adonis, vient te passer le voile de l'aqueuse le long de ton visage, ton poitrail, vient te caresser le ventre rond, les cuisses laiteuses.
Voit il se fait tard mais il n'est jamais trop tard
pour mourir noyé à ses pieds.

Il ne cherche pas à retirer sa main, non, il l'aime bien contre toi, à sentir ton sang battre contre ses doigts.
(a la truelle il aimerait venir le chercher, en repeindre ton appartement de ta vie si battante, de ton pouls à bout de souffle, oh il te tuerait bien pour la cause, pour mieux regretter son geste après oh non pas d'avoir fait du mal, mais de n'avoir plus pareil si joli modèle)

Il se fait tard en effet...il bat des cils, te détail avec attention, te dévore sans vergogne, car il est carnassier dans tous ses desseins. Il vient de sa main te pincer ta joue, un sourire naissant contre ses propres pommettes, il a un endroit où rester mais il espère oh, espère que tu lui offres le couverts, Non je n'ai nulle part, pour l'instant tout du moins, mais je me plait bien ici.

Oh ne l'a-t-on pas dit ? tel un roi qui vient conquérir cette contrée où il vient à peine de poser le pieds, il se sent partout chez lui, tel un nantis. voit il laisse sa main glisser hors de ton emprise, vient poser ses mains contres ses hanches, faire un petit tour sur lui-même en observant la pièce, oh il veut dormir contre tes draps, apprendre de leur odeur, quelques secrets que tu lui, encore, cacherais.
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CLOCHETTES
Posté le Mer 29 Avr - 12:18
Orazio
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Il sole scuro di fumo,  
sotto  i rami del gelseto,
ti brucia e sui confini,
tu solo, canti i morti.


Miska & Orazio



Oh Madone




C’est simple comme un serment au creux des soirs.
C’est comme une déclaration sans amour où ne brûle qu’un feu pour les muses : Il ont tout deux le coeurs éplorées pour des Calliope ou des Erato de peintures et de sel d’argent. Il sont tous deux trop fous peut-être, mais se complaisent dans leurs caprices et autres frénésies. Les alimentent mutuellement comme un mouvement pérenne de chaos constant.
Comme de affreux diables aux joues pâles,
aux sourires charmant.

Oh il voit bien Miska, affreuse petite bête qui porte dans ses chairs autant de beautés que de destruction. Oh, il sent bien entre ses doigts, contre sa peau la flamme qui vacille et manque de lui lécher le visage : lui arrachant le derme

Mais il se ferait grand brulé pour lui (car au delà des écobues Orazio a dans le corps des choses d’une tiédeur qui éteindrait tout les feux avant qu’il ne le consume entièrement)
Il suffoquerait s’il faut pour peu que ce coeur l’estime. Il se noierait dans les larmes même si le sel lui tourne la tête.
Oh, ce n’était pas des choses dont il avait peur.

Et il sourit quand Miska accepte les mots secrets de son invitation. Oh il le laisserait le ravager juste ce qu’il faut. Juste ce qu’il faut pour se faire une place dans un coeur qui ne pense à rien si ce n’est aux images,
pour creuser un trou dans la poitrine d’une nécessité infinie
Il lui donnerait bien des choses comme on jette des graines aux oiseaux de passage
mais saurait les reprendre, cruel, si l’oiseau est volage.

Mais c’est un jeu dangereux qu’il aime plus que tout
la caresse puis le coup.
Il ne doute pas que Miska, lui aussi, y joue.

« J’espérais bien te voir rester ce soir. »  Et il sourit contre il picotement de doigts qui viennent pincer sa joue. Les siennes sont raides et creuse, il faut enfoncer ses ongles pour y attraper la peau, tordre les muscles paresseux qui ne sourient jamais trop.
Orazio laisse la main lui échapper, la libérant sans un mot, mais esquissant comme un mouvement de la tête pour suivre sa caresse.
Il le laisserai faire comme chez lui
Car chaque grain jeté c’est un peu plus de ce coeur qui lui appartient
Oh il ne veut pas posséder non, on ne possède pas les artistes. On possède pas les choses vilaines comme Miska. « Je n’ai pas besoin de te dire de faire comme chez toi »
Il resterait là allongé dans ses draps, immobiles, donnerait juste ce qu’il faut. Il le laisserait ravager sa peau, son âme s’il le faut. Il se contenterait de la caresse du feu qui brûle autant qu’elle lui plait.
Il pourrait le tenir dans ses bras, si l’autre voulait, l’écouter parler encore de larmes et de peines. De martyr sur papier glacé.
Il pourrait l’écouter parler de son art sans fin, remplissant son infinie vacuité intérieur de quelques clichés cruels.
C’est qu’il avait trouvé un coeur-miroir, une folie semblable qu’il attendait surement depuis bien longtemps.
et il le regarder danser au milieu de son salon, esquissant une pirouette.
«  Quelle joie de t’avoir rencontré aujourd’hui » et il a le sourire ivre, il pourrait presque rire après tout c(était tout à fait inespéré. C’était peut être le malin ou la providence « J’ai l’impression que c’est une bénédiction et une malédiction. » Alors, il s’appuie contre le chevalet qui a encore l’odeur du brulé, posant sa joue esseulée au creux de sa main. « Oh, on risque de se combler comme de se détruire, c’est fabuleux n’est pas ? »
C’est le pacte scellé de leur association.



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