Il brille, il rayonne, il illumine le monde de sa bonne humeur entêtante
(tend ta main et il t’y entraîne volontiers sur des rythmes endiablés
appelle-le et son aide te sera offerte
ton sourire suffit à le combler)
Sa joie s’étale autant que son esprit et le voilà ailleurs en si peu de temps, si facile à distraire et pourtant si simple à concentrer : voyez, là, comme il se plonge corps et âme dans ce qu’il aime ; voyez, là, comme il est bien plus dur de le raisonner et de l’enlever à son activité
(âme éclosant en passions débordantes)

Ah, enfant souriant
Radieuse candeur jamais vraiment révolue
C’est qu’il n’aime pas voir les gens malheureux
alors il dispense quelques plaisanteries souvent maladroites
mais si ça te fait rire
si ça efface tes pleurs
si ça te fait oublier tes malheurs
alors ça suffit à le rendre heureux
(il ne veut que ton bonheur)
C’est qu’il aime penser le monde beau
touchante innocence le poussant à voir le bon en chacun
agréable naïveté car même le plus mauvais des hommes a forcément une part de lumière
Pas vrai que l’homme est bon de base ? Pas vrai qu’il ne peut être complètement méchant ?

M’entends-tu ? Me vois-tu ?
ah, regarde, je suis là, juste devant toi
Je sais, je t’ai un peu forcé, je sais, je t’ai un peu ennuyé
mais au moins, tu es avec moi, tu me vois, tu me regardes ; maintenant, je ne suis plus tout seul, c’est agréable cette compagnie je n’ai plus envie de m’en séparer tu combles quelque chose mais en même temps je
((suis si seul))
te tiens la main et
ah, tu t’enfuis, ne pars pas
ne me laisse pas
Reviens, s’il te plaît
ne me laisse pas seul
ne m’abandonne pas
ah ce silence assourdissant il me pèse il m’étouffe ah sa cacophonie est insupportable ah où es-tu donc pourquoi es-tu parti ne vois-tu pas que c’est
si douloureux d’être seul
Mes doigts ne saisissent que le vide ma voix s’est éraillée puis s’est tue à force de hurler dans l’indifférence du vide l’atroce sifflement du néant dans les oreilles le souffle qui déchire ma gorge et mon être entier les pensées qui s’emmêlent cette confusion qui m’entraîne qui me blesse qui me tue j’ai
si peur pourquoi n’y a-t-il personne pour me sortir de là ah j’étouffe je sens ces larmes couler le long de mes joues ah ça fait si mal la solitude ça fait si mal l’abandon je
me sens mourir

Séducteur ; distrait ; sensible ; rêveur ; farceur ; altruiste ; un brin naïf ; souriant ; fainéant sur les bords ; passionné ; tourmenté

— Adore les fleurs, la technologie et les chocolats chauds.
— Est particulièrement fleur bleue et grand amateur de romances.
— Est incroyablement tactile.
— A le don pour perdre ses affaires, grand désordonné qu’il est ; ne semble d’ailleurs pas connaître l’existence du verbe « ranger ».
— A une peur viscérale de l’abandon et de la solitude.
— Sursaute à la moindre chose.
— Se sent quand même seul même en étant entouré.
— Aurait aimé être chanteur et devenir célèbre. Ou danseur. Ou musicien. Il ne sait pas trop. Mais il aurait voulu être un artiste célèbre, c’est certain.
— A d’ailleurs une sacrée voix et est très à l’aise en public, en plus d’être un très bon danseur.
— A appris à jouer du piano, de la guitare de la flûte de pan d’abord pour son plaisir personnel, puis pour draguer plus facilement. A aussi quelques connaissances en solfège parce que c’est toujours mieux quand on fait de la musique.
— Blesse souvent les gens sans le vouloir.
— Rêve d’une relation amoureuse sérieuse mais il ne sait pas encore s’il y est réellement prêt (ce n’est pas comme si la terre s’était ouverte sous ses pieds la dernière fois qu’il avait voulu).
— Se prend souvent des gifles de la part des filles à force d’aller les draguer ; il aurait pu devenir jardinier tant il a ramassé de râteaux dans sa vie.
— Les hommes ne sont pas à l’abri de ses avances.
— N’aime pas voir les filles pleurer mais il est souvent la cause de leurs pleurs.