Moebius a écrit:

Champagne !
mais pas pour lui, champagne pour qui au juste ? Il a une moue tordue alors qu'il se goinfre au buffet, la bouche pleine d'entremets. Il mange comme s'il doit faire des provisions pour l'hiver. Il mange non pas par faim mais par mesquinerie, il y en aura ainsi moins pour les polariens ahah, ça le fait rire mais il ne rit pas, pas vraiment du moins, il a un rictus entre deux bouchées voilà tout.

Samson a écrit:

« Je la gardais pour le moment opportun, mais tu ne me laisses pas le choix. Je vais être obligé de faire détonner la bombe que j’ai fait poser dans son ventre… Un terrible gâchis, vraiment.   »

Mathilde a écrit:

L'air se coince dans sa gorge, des spasmes secouent son être alors qu'elle caresse encore une fois, une dernière fois la tête de ce petit qui aurait pu être le sien. Mais il faut se rendre à l'évidence, elle ne le reverra pas. Elle l'enterre ici en sanglotant, en même temps que ses espoirs. Il s'est éteint, tout comme sa flamme intérieure.

Je pose ça là parce que ça m'a fumé de rire

Samson a écrit:

Pauvre Andy, répète un des sbires du Leader, celui qui joue le rôle du perroquet sur l’épaule du pirate d’opérette.

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Orazio a écrit:

Oh, il est si amoureux de lui-même, oh il s’aime tant on ne voit que ça à le voir parler. C’est si beau.
C’est le funeste destin des narcisses

Aleksei a écrit:

Mais voilà que la petite porte émotive de Aleksei se referma. Non pas à jamais, mais pour un instant, il allait reprendre sa diffusion de sentiments et attendre. Parce que l’ouragan Pavel était en train de dévaster les nuages à l’horizon. Il entendait ses mots et au fur et à mesure que les paroles se déversaient, la bouche d’Aleksei s’ouvrait, d’étonnement et de surprise et puis, il la referma, avalant la salive qui s’y accumulait avant de se prononcer sur l’ensemble de la situation.

— Well.. That escaladed quickly.

Will a écrit:

"-Par contre je m'attendais vraiment à ce que la prochaine fois où tu viennes me rendre visite ce soit avec une petite amie. Ou un petit ami hein, moi tout ce que je veux c'est ton bonheur hehe !"

Will a écrit:

"-Hey, je suis pas assez vieux pour être un 'papy'. Je suis encore un jeune, grand et séduisant homme, je tiens à le préciser !

Will a écrit:

"-Hey, je suis clairement pas si vieux. Regarde-moi, on dirait que je suis dans ma vingtaine, clairement."

Will a écrit:

"-Hm, c'est vrai, il vaut mieux ne pas se forcer à aimer quelqu'un, ça ne finira que mal pour les deux. Ou plus, si t'es un coquin."

Petit rire en mode "hehehehehe" qui suivait

Eon a écrit:

Soudain, le vent se lève, le tonnerre gronde. Bam ! Bam ! Bam ! Des bruits sourds résonnent au loin, à peine étouffés par le manteau de terre. Des poings frappent, cognent, battent le bois pourri et humide ! Loin, très loin d’Althéa, quelque part à la surface de la Terre, son grand père américain se retourne dans sa tombe. Ses doigts, dont la chair molle et décomposée laisse entrevoir ci et là la blancheur des os, tentent de défaire le corps de l’emprise de son linceul. Ses jambes, revenue à la vie, se fracassent violemment contre cette prison exiguë. Crac, le cercueil s’ouvre, il sort, libre enfin pour accomplir son devoir ! Le croassement des corbeaux l’acclame, de leur sombre voix, cette audience au plumage de nuit l’encourage ! Il traîne ses membres et s’en vient châtier ce petit-fils indigne pour l’affront à la langue de Shakespeare. Elle crie, elle hurle, elle agonise, souillée, torturée, dans sa bouche impie. Elle appelle le soldat défunt, l’implore de s’emparer de l’épée de la vengeance et de laver ce nom que sa descendance avait frappé du sceau de déshonneur. Une voix sépulcrale gronda des tréfonds de son âme : « ô misérable mécréant, mon sang pourtant coule dans tes veines, chair de ma chair , comment oses-tu profaner ainsi la mémoire de tes aïeuls ? Que ton sang dont tu es indigne se tarisse et que ta chair noire de péché se flétrisse ! ».

Ludde a écrit:

Regarde le, oui, redevenir Chasseur ; et dis-moi, comme pour celui de Mariette, ce Chasseur tirera-t-il sur ton coeur ?

@Miska a écrit:

dans tes courbes
dans tes formes
tout en toi crie la chaire
de celle de tout un chacun
tes carrés de peau scintillent sous le soleil caerien tu es
la parfaite petite soldat
le jouet en bois
et lui
lui est l'enfant roi